tu as fini de souffrir, on savait depuis longtemps qu'il n'y aurait pas d'autre issue, mais çà fait mal, trés mal...
Je ne peux m'empêcher de penser (pardon au ciel) que c'est injuste, que lorsqu'on aime la vie comme tu l'as aimée, on n'a pas le droit de partir comme çà...et tant de souffrances, j'ai prié pourtant que tu t'endormes doucement, le ciel ne l'a pas voulu...
En même temps, je suis heureuse, heureuse de t'avoir connu, d'avoir découvert ta richesse, ta volonté, ta rage de vivre, ta gaieté jusqu'aux derniers jours...
Tu nous as donné à tous une grande leçon, que je n'oublierai pas...
Mes pensées vont vers toi, espérant que tu trouves la place que tu mérites dans un monde meilleur, mais aussi à ton entourage, à ta maman. Ne t'inquiète pas, nous serons là pour elle, pour eux tous...
Tu me manques déjà...
Juillet 2010, déjà on savait, mais rien n'a jamais effacé ton sourire...Merci !!!!